Christiane
Courvoisier

Au Festival Exilio y Memoria de Pau, les 12 et 13 octobre 2007

27 novembre 2007 à 11h08

"Pendant trente ans, du temps de Franco, notre mémoire a été etouffée. Aujourd'hui j'ai envie d'entendre les chansons que mon père me chantait." Une adhérente de l'association Mémoire de l'Espagne Républicaine... Républicaine.
Photo : Charles Farreny

christianecourvoisier@yahoo.fr

Exilio y Memoria - Pau - 12 et 13 octobre 2007

27 novembre 2007 à 11h04

Felisa Salinas, doyenne des Républicains Espagnols, 103 ans: "Je ne suis pas pressée de mourir mais je compte sur vous pour mettre enplace la troisième république que j'attends depuis 68 ans."
Photo : Charles Farreny

Exilio y Memoria - Pau - 12 et 13 octobre 2007

27 novembre 2007 à 10h58

Un abrazo que no necesita palabras...
Photo : Charles Farreny

www.site.voila.fr/espana36/index.htm

Exilio y Memoria - Pau - 12 et 13 octobre 2007

27 novembre 2007 à 10h54

Avec Conchita Del Bosque Farreny, le 13 octobre 2007 au Parc des Expositions de Pau...
Photo : Charles Farreny

www.memrepublica.org

Festival des Nuits de Nacre - 15 septembre 2007

27 novembre 2007 à 09h56

Il était Tulle fois...un festival pas comme les autres.



"Christiane Courvoisier et Michel Glasko: voix et accordéon. Christiane entonne un répertoire tragique et noir des années de fascisme en Espagne. Chansons populaires, récits des Brigades Internationales, textes de protestation, poésies de Antonio Machado, Pablo Neruda, etc. Un moment de profond recueillement. Une véritable communion douce et sincère s'opère entre la voix tragique de Christiane et l'accordéon de Michel. Un duo capable de créer la poésie d'un instant de bonheur retrouvé. " Françoise Jallot. Accordéon et accordéonistes N°69 - Novembre 2007 Photo: Bill Akwa Bétoté

www.nuitsdenacre.com

Au Vingtième Théâtre - 23 avril 2007 -

27 septembre 2007 à 14h02

En 1936, Rafael Alberti, secrétaire de l’Alliance des intellectuels antifascistes, fonde El Mono Azul - Le "Bleu" (de Travail)-, feuilles littéraires et poétiques de combat, où se mêlent des textes de poètes contemporains tels Antonio Machado, Miguel Hernandez, Pedro Gafias, Pablo Neruda, avec des romances et des chansons populaires écrites ou reprises au front par les combattants. Chansons populaires, chants de protestation contre la guerre impérialiste, chants symboles des luttes ouvrières minières dans les Asturies, chanson des brigades internationales, hymnes et chants de combats.
En espagnol ou en français, accompagnés par l’accordéon de Michel GLASKO, poèmes et chansons se répondent, voix célèbres ou anonymes de ces années de guerre, chansons plus récentes mises en musique ou écrites par les héritiers de cette mémoire...
Photo: P. Gatineau

www.christianecourvoisier.com

Coup de Coeur en forme d'hommage...

27 septembre 2007 à 13h31

"Ce drapeau a été offert à François Barret (1911-1984), jeune français de vingt-cinq ans, engagé volontaire dans les brigades internationales du 12 novembre 1936 au 27 février 1937.
Le 27 février 1937, F. Barret reçut un éclat d'obus. Il fut alors amputé d'une jambe à l'hôpital Palace de Madrid et soigné là de février à mai 1937.
En témoignage de leur gratitude à ce jeune brigadiste, les infirmières de l'hôpital Palace ont confectionné ce drapeau et brodé leurs prénoms sur un côté, sous les dates du séjour à l'hôpital du jeune homme.
On s'étonnera que certains mots brodés soient écrits en français (février, mai) ou écrits "à la française" (espagnola...)
Ce détail est très émouvant car on peut y deviner le désir des infirmières de montrer au jeune brigadiste amputé qu'elles connaissaient un peu de français...
De même que l'application en haut à gauche d'une pièce de tissu bleu et blanc qui forme, avec la couleur rouge du fond, les couleurs du drapeau français...
De l'autre côté, la pièce de tissu, cousue en haut à gauche, de couleur violette et jaune donne, avec le fond rouge, les couleurs du drapeau de la Seconde République Espagnole.
La "faucille et le marteau", emblème du communisme, exprime ici "la solidarité entre les peuples dans le combat pour la liberté", idéal généreux animant l'ensemble des Brigades Internationales.
Pour les sept enfants de François Barret, ce drapeau est un objet d'une ectrême valeur affective...
Il leur permet de prendre la mesure de l'homme qu'était leur père...et d'en aimer d'avantage le souvenir..." Violaine Barret.

Merci à Violaine de m'avoir permis de reproduire ici ce poignant témoignage...

www.memrepublica.org